44.6 Oui, Le CUr De Jérém
(Je reprends là où on a été coupés la semaine dernière
et cest à partir de là que ça baise dur
lol)
Je suis toujours bloqué à cette putain de table avec ces camarades avec qui je memmerde sec
et cest reparti dans le best of des souvenirs
merde alors
je me sens comme devant la grille des programmes entre Noël et le Jour de lAn
des bêtisiers à toutes les heures et à toutes les sauces
jai envie de vomir
on recommande à boire
je nai pas soif mais je memmerde, alors la deuxième bière descend bien vite
et jai aussitôt envie daller au petit coin
Me revoilà dans ces mêmes toilettes où quelque semaines plus tôt javais croisé Jérém
il y rentrait pendant que jen sortais
je lavais regardé senfermer dans une des cabines
et jétais resté si longtemps à mater la porte pour entendre un intense bruit de pipi tomber dans leau de la cuvette
me demandant si je nallais oser taper à la porte et lui proposer une gâterie... je men voulais tellement de ne pas lui avoir proposé en le croisant, alors que son regard lubrique, lorsquil mavait congédié avec une « bonne soirée, mec
» mavait clairement fait comprendre quil en avait autant envie que moi
hélas, javais bien compris quil trouvait encore plus jouissif de me planter là comme un con après avoir vu la frustration safficher clairement sur mon visage
. sil le faut il sétait même branlé dans ces chiottes pendant que je languissais de le sucer
Cette fois-ci, mon affaire est vite réglée
pas de Jérémie en vue
je vide ma vessie et je repars.
Lorsque je reviens dans la salle, je remarque avec soulagement quAlexandra, Camille et Rémy sont allés rejoindre dautres camarades
je nai toujours pas soif mais, pour me donner une contenance, je repars au comptoir chercher une nouvelle bière
non, je nai vraiment pas soif, mais je commence à sentir leffet apaisant de lalcool dans ma tête et jai besoin dêtre encore plus apaisé
En passant devant la table où Jérém sétait assis avec sa petite bande, je retrouve quelque chose qui a le don de me faire drôlement plaisir
dans le cendrier, un petit papier mis en boule et un peu noirci est abandonné au milieu des mégots de cigarettes
je profite du fait dêtre hors de la vue de mes camarades pour attr et déplier la petite boule
et quelle surprise est la mienne lorsque jy découvre griffonné un prénom féminin et une suite de chiffres commençant par un 06, le tout dégageant un parfum féminin qui minsupporte
je déchire ce qui reste du petit papier et je remets tout cela dans le cendrier.
Je suis heureux
mon beau brun nest pas tombé si bas
pas de blondasse à baiser ce soir
je suis fier de toi, Jérém
Cest désormais dun pas soulagé que je vais prendre ma bière et que je commence à la siroter au comptoir
je sais que je dois avoir lair con en train de picoler tout seul dans mon coin, mais jai envie dêtre un peu seul, jai besoin de me retrouver pour réfléchir à la suite de cette soirée, pour trouver le moyen de lapprocher et de le brancher, pour définir comment je vais my prendre pour baiser avec lui sans être confronté à un nouveau râteau monumental comme celui de samedi dernier
il faut que jagisse vite
le temps presse
ce t-shirt blanc est un pur appel à la baise
la Pouffe, en tant quespèce nuisible à part entière, est aux aguets
Hélas, jai beau essayer dimaginer des scenarii pour lapprocher, je sèche
je commence à me dire que peut être cette soirée namènera rien de ce que jespère, quavec Jérém cest mort
je me dis que même sil ma sorti un compliment, il nen a rien à foutre de moi et quil préfère de loin rester avec ses potes
Soudainement je repense à Stéphane, jy repense avec nostalgie, je retrouve la douceur et la tendresse du garçon au labrador, ses regards, ses mots
Stéphane dont je nai plus de nouvelles et que je ne reverrai pas
« Tu as le droit dêtre heureux
tu as le droit daimer et tu as le droit de te sentir aimé
prends confiance en toi
tu vas y arriver, tu vas la trouver ta place
pour peu que tu crois en toi
sois toi même, ne laisse pas les autres choisir pour toi
fais gaffe à toi, Nico
tu es un bon gars, même trop bon, trop gentil, fais attention que cela ne te joue pas de tours
la mauvaise herbe nique souvent ce qui est trop bien cultivé
fais donc attention à ne pas te perdre, même pas par amour
veille toujours à rester toi-même
à tout donner mais à ne pas tout accepter par amour
».
Je sens la présence de Stéphane à mes cotés
je me dis quil me faut vraiment lâcher laffaire Jérém
quil me faut apprendre à ne plus compter sur lui, car je naurais que des déceptions et de la souffrance de la part de ce gars
Ma bière se termine, vivement que cette soirée se termine aussi, je suis à deux doigts de tout planter et de rentrer chez moi
Quittant tout espoir, au bout de rouleau, je sors mon portable de ma poche et je retrouve un sms dElodie qui me demande comment se passe ma soirée
je mapprête à lui répondre avec un court message résumant dans les détails mon état desprit du moment, un message du style « Beurk », lorsque jentends une voix derrière moi, une voix qui me prend aux tripes et qui libère illico des papillons dans mon bas ventre :
« Tu bois tout seul, Nico ? ».
Il est là. Jai beau essayer de me faire fort de la « présence » de Stéphane à mes cotés
dès que Jérém sapproche de moi, tout le reste disparaît
je fonds
en plus jadore quand il fait ça
me poser une question
montrer un semblant dintérêt à mon existence au delà de la baise
et, par-dessus tout, finir une question avec mon prénom
ça, ça a le don de me filer des frissons à chaque fois
oui, mon beau Jérém, tu connais la chanson
quand tu prononces mon nom, cest comme une petite prière, je suis à genoux, je voudrais tamener ici
ah, Madonna, comme cest bien vu, comme cest bien vu
Je prends une longue inspiration, je me retourne et là je suis percuté de plein fouet par un sourire à faire fondre la banquise. Non, pire que ça, à faire directement évaporer la banquise sans passer par la case « fonte ». Son assurance minsupporte. Sa beauté me lamine. Sa tenue massomme. Jai envie de lui. Troooooop envie de lui
« Ouais, ça me fait des vacances
» je réponds, froidement. Je tente dafficher de l'indifférence mais dur dur de faire en sorte de ne pas déborder sur une forme dhostilité difficile à maîtriser
« Tu fais la tête ? »
Oui, je fais la tête.
« Non
» je réponds, sèchement.
« Si, tu fais la gueule
» se moque-t-il.
Il ménerve. Alors je décide dy aller franco.
« Oui, je fais la gueule
»
« Pourquoi ? » me balance-t-il avec un regard qui aurait presque lair innocent.
« Pour rien
» je tente de me maîtriser alors que toutes mes fibres ont envie de crier le catalogue complet des raisons de mon énervement.
« Allez, accouche, de toute façon tu va me le dire à un moment ou à un autre
alors abrégeons les souffrances
» me balance-t-il, de plus en plus moqueur.
Définitivement, il me fait sortir des gonds. Je chauffe. Ça va péter
alors, tant quà avoir une explication, je choisir la méthode radicale, je remonte à la source du problème, du malaise qui brûle toujours en moi
« Samedi dernier tu mas jeté comme une merde
»
« Ah, tu fais la tête
que pour ça ? » il sétonne.
« Oui, rien que pour ça
» et je me retiens de terminer ma phrase en lui balançant un « petit con, va ! ».
« Javais dautres projets » me répond-il le plus naturellement du monde.
« Bah, oui, me ridiculiser avant de lever deux pouffes et partir tenvoyer en lair avec ton super pote
».
Là Jérém change dexpression et dattitude : exit le ton taquin et moqueur, je vois quil commence à sénerver, et que ça arrive très vite. Il me chope par le bras de façon très ferme, presque violente, il me regarde droit dans les yeux, il sapproche un peu plus, pénètre mon espace vital, faute de mieux évidemment, avec un regard qui fulmine et, avec une voix qui a pris du corps, une voix traversée par des graves plus marqués et par un ton severe et autoritaire, me balance sèchement :
« Jai pas de compte à te rendre, mec
si jai envie de te baiser, je te baise, si jai pas envie, jai pas envie, cest compris ? ».
Jentends ses mots
ils sont durs, certes
mais il y a quelque chose qui mimpressionne bien davantage que ses mots
cest son regard
encore plus dur, plus noir, menaçant de colère
un regard qui me fait même un peu peur
mais alors, quest ce quil est sexy quand il est dans cet état là
Le jeune lion a rugi
ça me fait tellement deffet que je finis par détourner mon regard
je suis désarçonné, je baisse les armes
sa voix, son attitude, sa proximité me font perdre tous mes moyens
Et coté olfactif, alors là, cest carrément la fête
déjà, dordinaire, son parfum suffirait à me mettre KO et à couper tous mes moyens
mais là, dans cette proximité, jai limpression de percevoir autre chose au dessus de son parfum entêtant
cest une odeur encore plus délicieuse
comme une odeur de mâle, de sexe, une sorte de bouquet de phéromones virils
jai limpression que cette odeur monte, transpire de son jeans
je connais cette odeur, car je lai humée tant de fois de si près, autour de sa queue
alors, souvenir, imagination, désir, envie ou réalité je nen sais rien, mais cette petite odeur de mec prend le contrôle de mon cerveau et là je ne suis plus moi, je ne suis plus quenvie
envie de lui
« Tu bois quoi ? » je suis surpris de lentendre me balancer de but en blanc sans attendre ma réponse à sa précédente question.
Au même moment, la prise de sa main sur mon bras se délie.
Il me propose à boire
cest gentil, mais bon
le fait est que
jai envie de rien, besoin de rien, mais envie de lui comme jamais envie de personne
Est-ce que ce sont les deux bières qui me montent à la tête et qui laissent la parole exprimer mes envies les plus profondes ? Jen sais rien
toujours est-il, que, en le regardant à nouveau droit dans les yeux, je mentends lui répondre
« Jai envie de goûter ton jus
».
Ça m'est venu comme ça, et je le regrette déjà.
Son regard noir a disparu soudainement. Il rigole. Son sourire taquin et malicieux me chauffe à blanc. Est-ce quil est flatté ? Est-ce quil se moque de moi ? Est-ce que jai tout simplement lair pitoyable ?
Il sassoit sur un tabouret juste à coté et il me fixe pendant quil sort son paquet de clopes pour en glisser une entre ses lèvres et lallumer. Il tire dessus et un instant plus tard il expulse un premier nuage de fumée blanchâtre
Dans le doute, au point où jen suis, je me dis que jai envie daller au bout et de savoir
il veut ou il veut pas ? Je me lance, je joue le tout pour tout. De toute façon
« Je te ferais bien une petite gâterie la bas
» jenchaîne en indiquant dun geste de la tête la direction des chiottes « mais je pense que tu vas pas vouloir
»
Il continue dafficher son sourire moqueur, et il ajoute même un hochement de la tête, si sexy et énervant à la fois. Il minsupporte avec son air « je te baise quand je veux de toute façon tes ma pute »
alors je pique à vif.
« Je suis sur que tu n'oses pas
»
Le hochement de la tête sarrête soudainement et le sourire perd dintensité, séteint petit à petit ; son regard change du tout au tout, le mec redémarre en mode défi, une étincelle dans ses yeux signalant sa nouvelle attitude
« Tu crois ça... » je lentends me lancer, juste après avoir expulsé un nouveau nuage de fumée.
Ah, cest jouissif. Jai une prise, jai trouvé la brèche pour le faire réagir
alors là
je vais my engouffrer
« Bah
samedi dernier tu t'es dégonflé... et je suis sûr que ce soir tu vas encore te dégonfler, surtout avec tous les camarades juste à coté
».
J'ai bu et je me sens libre, très libre. Peut-être trop ? Là ty vas très fort, Nico
attention à ne pas te brûler les ailes, attention au retour de boomerang
son sourire moqueur a complètement disparu
le beau brun me toise avec un regard severe pendant qu'il tire sur sa cigarette
tant pis, je tire à boulet rouge
vite profiter de lavantage avant quil dégaine sa riposte blessante
jenchaîne, tel un kamikaze
« T'as tellement la trouille de te faire gauler que je te parie que t'aurais même pas la gaule... ».
Il ne dit rien, il me regarde fixement. Deux taffes de plus, il écrase sa cigarette dans le cendrier. Il se lève du tabouret et, tout en expirant la dernière fumée pas loin de mon visage, il me balance un petit geste de la tête
cest une invitation, cest un ordre, cest tout simplement quelque chose à laquelle je ne peux pas me soustraire
sa volonté de mâle dominant
Le voilà donc parti dun pas rapide et assuré en direction des chiottes. Je le suis en jetant un regard autour de moi pour massurer que personne ne remarque notre petite escapade, tout en exultant et en me félicitant pour mon effronterie
car elle est payante
c'est donc ainsi que marche mon beau brun... la gentillesse ne sert à rien, lintention de lui faire plaisir encore moins
non, ce petit con marche au défi... il est sensible et chatouilleux sur le terrain de sa fierté masculine... jaurais du y penser plus tôt
Vraiment, Thibault avait raison
il ne faut pas essayer dimaginer comment les choses vont se passer
il faut juste sécouter lorsquelles se produisent
et tout va bien
Jérém rentre avant moi dans le local des toilettes, il avance à grands pas jusquà la cabine du fond
il y rentre avec précipitation, profitant du fait que la pièce soit vide
Nous voilà donc, une fois de plus tous les deux enfermés dans un espace clos sentant à la fois lurine et le nettoyant pour chiottes
nous y voilà pour des ébats largement non conventionnels
je comprends vite fait quon est dans la précipitation, que je naurais pas loccasion de prendre le temps de le faire jouir comme jen ai envie et comme un garçon aussi beau mérite de jouir
je comprends que ce sera un coup à la va vite, au pas de course et que le beau brun va me tirer et se tirer de suite après
La porte des chiottes nest pas encore complètement renfermée derrière moi que déjà Jérém est appuyé à la cloison, ses bras et ses mains sagitant dans une sorte de precipitaction qui me donne le tempo, andante con brio, de la séance
ce sont des mouvements presque violents
des gestes qui traduisent son empressement, lurgence de son envie de mec
Ses doigts fébriles saffairent sur la ceinture épaisse quil défait dun seul coup, net, rapide, franc, déterminé, sec
le crissement du cuir, un bruit qui fuse à a vitesse de léclair et qui est pour moi comme la représentation sonore de son envie de jouir, est exactement celui que javais pressenti tout à lheure lorsque javais observé cette belle ceinture de mec située à la lisière de son t-shirt de fou
pareil pour le cliquetis de la boucle métallique
glin glin
tu vas sucer, mec
vite fait, bien fait
glin glin
tu vas me sucer car tu as envie de ça, ma salope
Les boutons de la braguette sont défaits en cascade juste en tirant dessus avec un geste dune rapidité, dune détermination et dune sexytude indescriptibles
Sous leffet du geste rapide et assuré de sa main, le jeans glisse dabord sur le coton du boxer, ensuite sur la peau de ses cuisses
saffichant en grandes lettres noires sur lélastique blanc, Calvin me nargue désormais
si c'est pas beau un beau mec pressé de se faire sucer et de lâcher sa semence dans votre bouche
Pendant ce temps, lautre main est déjà en train de déformer le boxer pour permettre à la première, très rapidement revenue et disponible pour de nouveaux emplois, de sy faufiler et de dégager sa queue, déjà raide comme un piquet
Putain quelle est appétissante
belle, droite, bien tendue, la pilosité soignée, elle est tout simplement magnifique... un pur appel à la pipe
et ça sent bon
on ne peut pas résister à ça, à cette odeur, à ce mélange de propre et de mec qui se dégage de son entrejambe
cest lodeur de sa douche, mélangée à lodeur naturelle de sa queue, et elle me frappe de plein fouet
Les mains croisées derrière la tête, le t-shirt remonté au dessus de ses abdos, vision de Paradis, les épaules appuyées à la cloison, les jambes légèrement écartées, le bassin vers lavant, boxer et pantalon descendus à mi cuisses, la queue en lair bien rigide, le mec attend que je vienne rendre hommage à sa virilité
Il a vraiment une attitude de jeune mec pressé de se faire sucer la bite par une salope quil estime à sa complète disposition, une salope qui en plus a un peu les choses, qui a harcelé son mâle pour quil lui permette de le sucer, une salope qui va en avoir pour son grade
surtout que le mec est pressé, le temps est compté si on ne veut pas des faire remarquer
de plus, mon beau couillu est un brin chatouillé dans sa fierté de mâle à cause de mon effronterie, contrarié du fait de devoir accéder à mes envies pour « gagner » le défi que je lui ai lancé
Enfin
« devoir accéder à mes envies »
ce sont mes envies, certes, mais les siennes au même temps
oui, le beau brun est quelque part contrarié par le fait de sêtre laissé entraîner dans un truc dont il a par ailleurs très envie
le problème, cest que ça ne vient pas de lui
Cest dans des moments comme celui là que je me rends compte que je nai pas choisi la facilité
que je réalise à quel point cest tordu la psychologie de la sexualité dun hétéro-bisexuel-j-aime-me-taper-un-mec-mais-je-ne-l-assume-pas
surtout celle de mon ptit con de beau brun
Bref, je sais quil ne va pas faire de sentiments, encore moins que dhabitude
devant cette attitude de mec pressé de jouir, le sucer devient une évidence, une loi cosmique
Il ny a pas si longtemps, je me serais senti humilié par son attitude
mais là
là ce nest que du bonheur
pendant ces moments là, je suis sa salope et je lassume à 200%... pourvu que ça dure
Oui, je suis sa salope mais je veux mamuser un peu
avant de moffrir à ses envies, je veux lui montrer quelque chose
je veux lui notifier qua ce jeu là, le jeu de nos baises, il ne sera désormais plus le seul à établir les règles
que je suis là pour son plaisir mais que jai besoin dun minimum de respect et de considération
De plus, même si le temps presse, jai envie de jouer un peu
jai envie de le piquer à nouveau, de lénerver
je sais à quel point cest bon la baise avec lui quand il est un peu chauffé
jai envie de le provoquer, de le faire monter en pression
et de le calmer ensuite en lui apportant un plaisir si intense à lui en faire perdre la raison
Je le regarde, je le contemple, tel un Dieu
nos regards se croisent
le sien, je le reconnais, c'est celui de l'impatience de l'excitation masculine
Jérém a tout lair dun mec qui na quune envie, celle de se faire sucer vite fait et de lâcher rapidos sa semence
Il est beau et sexy que les mots m'en manquent
ce t-shirt blanc CK remonté juste en dessus de ses abdos, juste en dessous de ses pecs, le coton élastique enlisé au milieu des magnifiques vallonnements de son anatomie
tout ça est tellement sexy, cest juste pas possible
il doit ment exister une loi pour interdire ça
je vais porter plainte
contre Jérém
contre CK
contre Casimir
peu importe
Le temps passe, cest un jeu dangereux auquel on joue tous les deux
il ny a pas cinquante cabines et à un moment ou à un autre quelquun pourrait toquer à la porte
je sais aussi que tous nos camarades sont en train de faire la fête à quelques mètres de nous, et parmi eux, le charmant Thibault
je sais que plus nos deux absences se prolongent, plus ça risque de paraître suspect
notamment dans la tête du beau mécano qui est désormais au courant de tout
Mais ce que je sais, surtout, cest que le mâle Jérém, quand il a une envie dans la queue, il ne la pas derrière la tête
je sais que dune seconde à lautre il va démarrer et il va diriger les choses à sa façon, brutalement
je sens que ça ne va pas tarder à tomber
Et voilà, ça tombe
ponctuel, net, précis, puissant
« On n'est pas venu ici pour se regarder dans les yeux
» me balance-t-il froidement avec un sourire coquin au coin des yeux.
Je ne peux pas mempêcher de me trouver à la fois abasourdi, excité et carrément presque amusé par tant de culot, ou tout simplement de vision à court terme de style tout à fait masculin
ah, les mecs, tant de charmes mais un seul credo
jouis aujourdhui, tu ne sais pas qui te branlera demain
Il a un coté insupportable, détestable, macho, culotté, mais quest ce quil me fait envie
je suis rassuré, car voilà la preuve quil a toujours envie de moi
je suis amusé, car son arrogance est tellement énorme que ça va au delà de son coté dominateur, à ce stade là jai presque limpression que ça déborde sur un deuxième degré inavoué, ça devient presque un rôle tacitement accepté par les deux parties
« Qu'est ce que tu peux être con
» je lâche en le regardant fixement dans les yeux, sans pouvoir mempêcher daccompagner mes mots par un petit sourire complice.
Il sourit à son tour. Cest un sourire canaille, coquin, sexy
bref, un sourire à faire tomber toute défense, toute réticence
Parfois jai limpression que pour lui tout ça nest quun jeu, un jeu qui lamuse. Cependant, son sourire rapidement effacé, il ne lâche rien :
« Allez
dépêche
suce
».
A la faveur dun petit mouvement de son bassin, le t-shirt retombe, le bord inférieur flotte désormais pile au dessus de sa queue, il leffleure
Jai excessivement envie de me mettre à genoux et de le sucer sur le champ, je me fais mal pour résister, pour lui résister, pour lui montrer que je peux lui résister
pour lui montrer que ses ordres ne sont pas loi ou du moins que, dans une certaine mesure, ils ne le sont plus
il faut quil comprenne que même si jai plus envie que jamais de le sucer, ça ne se fera plus nimporte comment, à nimporte quelles conditions
Dix jours que j'ai pas goûté a sa bite
elle m'a manqué
son jus son goût de mec ma manqué
je suis impatient d'avoir sa semence sur ma langue, mais jai envie de faire durer le plus longtemps lattente de lavoir en bouche
de déguster ce petit moment magique avant quil ne my pousse brutalement, avant quil ne my oblige violemment
ou plutôt
justement pour quil my pousse brutalement, justement pour quil my oblige violemment
Le voir simpatienter mexcite, je bande comme un âne
je le vois défaire les mains derrière sa tête, commencer à se branler de la main gauche (tiens, il est droitier pour tout le reste, mais pour jouer avec sa queue, il est gaucher ce petit con)
ses allers retours sont amples et espacés
cest donc ainsi que se branle le beau Jérém ?
Cest extrêmement excitant de le voir se caresser tout seul
je me demande sil se branle régulièrement chez lui
si cest le matin en sortant de la douche ou le soir en allant se coucher
cest si beau ce garçon en train de se donner du plaisir que jen perdrais presque la notion du temps, comme hypnotisé par ce mouvement lent et régulier
Cest tellement beau que jai envie de regarder son visage, pour le voir prendre son pied
dès que je lève les yeux, il me lance aussi un signe de la tête qui veut dire « allez, viens sucer »
je suis figé, incapable daccomplir le moindre mouvement
Alors, comme rien ne se passe, il décolle les épaules du mur, il savance vers moi presque dun bond, il nest plus qua quelque dizaine de centimètres
son autre main se pose lourdement sur mon épaule pour me faire mettre à genoux, je résiste
il est si près de moi
son parfum, sa présence, ce coton blanc me rendent dingue
lodeur naturelle, masculine qui se dégage de sa queue me rend fou
Ça va très vite
je ne fais que céder à une envie soudaine
jallonge ma main, jatt la sienne, je la dégage de sa queue, jy mets la mienne à la place, rien que davoir ce manche magnifique et bandé à lextrême dans ma main est une expérience jouissive
je commence à le branler assez vivement
je le vois sursauter de plaisir
je me dis que à ce stade là son attention est toute à son plaisir, que ses barrières ne sont plus surveillées
je décide de franchir la ligne rouge, et je décide dy aller franco
je lembrasse sur les lèvres, elles ne réagissent pas mais elles frémissent
jinsiste
sa main se porte à nouveau sur mon épaule, lourdement, je résiste toujours
Je suis fou, à un moment je le repousse assez violemment contre le mur, je me précipite sur lui, je lembrasse à nouveau
il doit être surpris, et moi encore plus, surpris quil se laisse faire
Et cest là que ses lèvres souvrent et quil me mordille la lèvre supérieure
à mon tour je lui mordille la lèvre supérieure
un instant plus tard je lembrasse dans le cou, il me repousse
dans tout ça, jai perdu le contact avec sa queue
Il est temps de reprendre les choses en main, surtout sa queue en bouche
cest ce que je fais dans les plus courts délais
mon autre main se glisse discrète sous son t-shirt blanc qui, soit dit en passant, est effectivement dune douceur incroyable
Il frissonne, il adore
je frissonne, jadore
sous son t-shirt cest chaud, doux, vallonné
mes doigts parcourent, lisent, sondent le relief merveilleux de ses abdos à la place de mes yeux
leur plaisir est entier, indescriptible
Cest là que je reviens à la charge
je lui mets plein de bisous dans le cou
et là
surprise
il ne me repousse plus
au contraire, il frissonne
il a même lair daimer
et jai limpression que ça lexcite
Oui, on ferait faire nimporte quoi à un mec dont on tient la queue
cest là que je commence à réaliser que cest en passant par sa queue que lon maîtrise un homme
Et là se passe quelque chose qui me bouleverse
il appuie lourdement son front et ses lèvres dans mon cou, il mordille la peau dans le creux de mon épaule
cest bon
jai limpression quil sabandonne à un plaisir qui le dépasse... mais cest la première fois quil se laisse aller de cette façon
je suis fou
jai envie de lui donner encore plus de plaisir
Ma main remonte sous son t-shirt jusquà effleurer sa chaînette, jusquà rencontrer ses pecs si fermes que jentreprends aussitôt de caresser
se tétons pointent, je ne peux pas résister à lenvie de les agacer avec le bout des doigts
dans la foulée, je ne peux pas non plus résister à la tentation de soulever son t-shirt pour lécher carrément ses tétons, tout en continuant à le branler
Je me perds dans ce bonheur de voir son excitation monter instant après instant
malheureusement, ça ne va pas durer
« Merde alors
» il me balance à un moment, après un sursaut dexcitation particulièrement puissant, tout en me repoussant violemment, ce qui fait que je me retrouve presque à heurter la cloison den face «
cest bien pour une pipe quon est venu ici
alors, suce moi, bordel ! ».
Je savais que javais trop attendu, lenvie du mâle nattend plus
est-ce quil a eu peur de jouir dans ma main sans avoir connu le bonheur de sentir son gland accueilli dans ma bouche ?
Il approche
sa main sappuyant à nouveau lourdement sur mon épaule, je n'oppose plus de résistance, conquis comme je le suis par son attitude macho et débordé par lenvie de l'avoir en bouche, un désir qui me ronge depuis que j'ai entendu sa voix dans mon dos tout à lheure, et encore plus depuis quon est enfermé dans cet espace confiné, mes narines en contact direct avec son parfum, mes yeux en prise directe avec son sourire et son attitude de mâle dominant
Je suis à genoux
et tant pis pour mon 501 tout neuf
il y a des priorités dans la vie
elle est là, dressée à quelque centimètres de mon nez
elle est belle, imposante, le poil soigné, prête à me remplir la bouche
oui, cette queue est vraiment magnifique
tout est beau
larrondi des bourses est juste parfait
le gland est pulpeux... son odeur, une drogue dure
Je le regarde de bas en haut, il me domine de toute sa taille, mais je lui tiens tête, je le regarde fixement
jhésite encore, je le provoque
je sens que ça va tomber
Et ça tombe
« Mais putain... dépêche... fais moi jouir... et avale bien... » me lance Jérém en enfournant sa queue dans ma bouche avec un mouvement rapide et presque enragé. Là, ça ne rigole plus
je comprends à cet instant que mon hésitation commençait visiblement à le mettre en pétard
on ne contrarie pas un mâle un rut, on ne délaisse pas une queue qui bande
jen oublie le b-a-ba du bien vivre en société
Me voilà donc avec sa queue au fond de ma bouche
jai rêve de cet instant, et ça arrive enfin
mais voilà que le beau brun, pressé, à bout de nerfs, entreprend de mettre de coups de reins très puissants
cest avec un plaisir entier et un bonheur tant attendu et enfin retrouvé que je le laisse me baiser la bouche
jadore, putain quelle ma manqué cette queue magique
Je suis au comble du bonheur
je suis en train de prendre en bouche celui qui est pour moi le plus beau gars de la planète et le plus sexy
tous mes sens sont comblés
et parmi les cinq, mon odorat est particulièrement gâté
A la faveur de ses mouvements de jeune mâle fougueux, le t-shirt est à nouveau retombé, le bord inférieur flotte pile au dessus de sa queue, il leffleure
sous leffet de ses coups de reins puissants, le coton, pourtant ajusté, ondule avec une cadence régulière, caresse mon visage
je suis en état hypnose je vais disjoncter
Suivant le rythme à deux temps impulsé par ses coups de reins, le coton caresse ses abdos et sen éloigne légèrement
oui, le bas de son t-shirt ondule au gré de ses coups de reins
et ce faisant il agit comme un soufflet, laissant entrer de lair qui se charge deffluves masculins, des effluves quil expulse en rythme
Cest un mélange dodeurs et de parfums envoûtants que je reçois inlassablement
un mélange dans lequel je reconnais son gel douche, son parfum, et cette odeur de queue qui sont les siens
tout à lheure je nai pas rêvé
cette odeur que jai senti au travers son jeans
cest bien un truc qui se dégage de sa queue, de ses couilles, cest tout simplement une délicieuse odeur de jeune mâle
cest délirant
son entrejambe sent à la fois le propre et le sexe
ce mec pue carrément le sexe à plein nez
je suis au paradis des odeurs
Dans cette cabine des toilettes de la Bodega, Jérém veut jouir vite
tous les camarades sont en train de faire la fête à quelques mètres de nous et plus les minutes passent, plus on risque de remarquer notre absence
sans compter le fait quil faudra sortir de ces chiottes, sans se faire repérer
Jaime bien quand il me baise la bouche, mais je me rends rapidement compte que là cest trop violent, quavec cette cadence, je ne vais pas tenir jusquau bout
il faut ralentir le mouvement
et puis, si jaime par-dessus tout le faire jouir, je ne veux pas avoir mal
je ne veux plus de ce qui sest passé le dernier jour du bac dans les chiottes du lycée
Cest là que, dans un réflexe de survie, ma main se lève pour aller se poser sur son t-shirt à hauteur de ses abdos (ahhhhh, que cest ferme, et ouf
quest ce que cest dessiné, je le sens sous mes doigts à travers le coton fin) tout en appliquant une pression avec mon bras et mon épaule
dans le feu de laction, et certainement à cause de ma position, je nai pas du correctement doser lintensité de mon mouvement, très rapide et très puissant
Soudainement, sa queue se retire de ma bouche, son bassin se retrouve collé à la cloison de la cabine, lempêchant de balancer ses coups de reins
sous leffet de la surprise, le beau brun est momentanément immobilisé
jen profite pour avancer mon buste et entreprendre de le sucer vigoureusement
Jérém a du être autant dérouté que contrarié par mon initiative car, un instant après, il att mon poignet, il dégage la pression que je maintiens toujours sur ses abdos, il passe sa main derrière ma tête pour la maintenir et donner plus dimpact aux coups de reins quil reprend à balancer sans autre forme de procès
Oui, Jérém a recommencé à me baiser la bouche de plus belle
cest un peu moins brutal, mais il en demeure pas moins que si je maccommode de cela, cest une fois de plus lui qui fixe les règles
alors
me laisser faire ou pas me laisser faire ? Si tout à lheure a été mon instinct de survie qui ma fait agir, là cest une question de principe
Et puis jai envie de jouer dangereux
jai envie de le provoquer
de provoquer une réaction chez le beau brun
je recommence
ma main appuie avec encore plus dentrain sur ses abdos et son bassin se retrouve à nouveau contre la cloison
il ratt ma main encore plus brusquement, il la balance carrément loin, violemment
il avance à nouveau le bassin, il introduit sa queue entre mes lèvres et recommence illico à les limer
Il na pas compris
pourtant, ce soir il va comprendre
il doit comprendre
il commence vraiment à ménerver avec son attitude « rien à foutre de toi »
pour une fois, je veux avoir le dessus
ma main repart direction de ses abdos, chargée de la même mission
hélas, cette fois-ci elle naura pas la chance de palper la fermeté de ses abdos, car son élan est coupé en plein vol
elle na pas dépassé la hauteur de mon épaule quune autre main, à la peau bien plus mate, la chope en la serrant très fort et en stoppant net sa progression
« Arrête ça
» il mintime, le ton agacé.
Je pense quil parlait de ma main, mais je suis tellement surpris que jarrête net ma fellation et je me dégage carrément de sa bouche. Ma main toujours enserrée dans létau de la sienne, je relève mes yeux et je rencontre son regard noir
on se défie pendant quelques secondes
je tourne un peu la tête, un petit regard narquois en coin
je plisse les yeux, je le mets une nouvelle fois au défi
maintenant que jai compris que ça marche, je ne vais pas men priver
Il est à fleur de peau, pressé de jouir, frustré, son agacement monte de seconde en seconde
vite, il faut trouver un argument pour ne pas lénerver davantage et pour ne pas céder
sortir par le haut et éviter le pire
à savoir
quil remonte son froc et quil se barre me laissant là comme un con
Sans le quitter des yeux, car cest par leur intermédiaire, par un petit sourire coquin que jessaie de lui faire comprendre que sil me laisse faire, sil me fait confiance, je vais lui faire un truc qui va lui plaire
sans le quitter des yeux javance lentement mon visage vers sa queue jusquà poser mes lèvres sur le gland
rien que cela a le pouvoir de le faire frissonner
cest à ce stade là que je comprends que je peux quitter son regard, la magie opère
Rassuré, encouragé, je continue à avancer jusqu'à rabattre complètement son manche contre le coton blanc
je commande à ma langue de senrouler, de durcir son bout, de sortir de ma bouche et daller appuyer pile dans le creux du gland, cet endroit magique quon appelle
le frein
Pendant que ma main, la seule dont je dispose à ce moment là, désormais enroulée autour de sa queue, commence à la branler tout doucement, ma langue bien pointue entreprend de toutes petites caresses, des pressions dont je mamuse à varier lintensité, la cadence, lui procurant des sensations à la limite du plaisir et de la frustration
Il aime
je sais quil aime
plus que ça
il adore
comment je le sais ? Très simple
lorsque jai commencé cet exercice, ma main, celle qui sétait rendue coupable de vouloir brider sa fougue de jeune mâle, était fermement enserrée dans la sienne
et là, seconde après seconde, je sens sa prise perdre en intensité, se dissiper
au bout dun moment je peux ainsi la récupérer et men servir pour lui caresser doucement les couilles
en signe de reconnaissance
Je lève les yeux, je rencontre les siens
il détourne le regard, ses paupières tombent lourdement
il inspire bruyamment, sa bouche sentrouvre, je devine quil est en train dessayer de comprendre ce qui lui arrive et dappréhender ce nouveau plaisir
je vois passer sur son visage le reflet de mes coups de langue, le reflet des variations dintensité des mouvements de ma main autour de sa queue
Je le regarde se détendre, apprécier linstant et le traitement
conquis, le mâle a déposé les armes, il se laisser faire
il me laisse faire
Je le vois déglutir nerveusement pendant que sa pomme dAdam se balade de haut en bas et de bas en haut de sa gorge
ses paupières frémissent, il halète de plus en plus fort
ses lèvres sentrouvrent à nouveau pour laisser dépasser un petit bout de langue
un geste dont il ne se rends même pas compte
cest mignon et sexy à la fois
ses bras se laissent aller dans des étirements inconscients vers le haut de la cloison, tout son être comme dans un état second, abandonné à un plaisir qui le dépasse
Ça calme ça, nest-ce pas, mon beau brun ? cest bon ça, et je ne te le fais pas assez
honte à moi
Jérém a complètement changé dattitude
le voilà un brin mieux disposé à prendre son temps
comme quoi
dans le sexe, comme dans la vie, tout est négociation
Cest grisant la sensation darriver à apprivoiser un mustang
Oui, il prend son pied, et pas quun peu
je suis aux anges
il doit vraiment adorer, car une récompense de taille mattend
dans le petit espace, lair est désormais très chaud, moite
la température monte à cause de nos ébats
je sens sa peau qui commence à transpirer
il a chaud
cest là quil a le geste qui va bien
je sens sa main frôler mon front dans la précipitation de son passage
elle att le bas du t-shirt pour le soulever, pendant que le haut de son torse se replie et son bassin recule légèrement
Ça se passe avec la vitesse de léclair
un instant plus tard, le coté Calvin de son t-shirt est coincé derrière son cou, et il ny a plus que ses épaules cachées par le coton immaculé
le torse est dévoilé, un mélange de parfums intenses et dodeurs délicieuses se dégage de ce paysage merveilleux
Et jen perds presque la raison
A un moment je le vois balancer la tête vers larrière, laissant échapper un « putain
» venant du plus profond du cur, je parle de celui qui est au bout de sa queue et dont je suis en train de moccuper
Je regarde son gland et je me fais une curieuse réflexion
en fait
un gland bien gonflé
ressemblerait presque
à un cur renversé
Cest ce soir là que je réalise que le « cur » de mon Jérém est au bout de sa queue
et que pour le faire palpiter, il suffit de le prendre entre mes lèvres
et là, autant dire que je ne vais pas men priver
Une fois de plus, merci à toutes celles et à tous ceux qui prennent le temps de commenter ou critiquer mes textes. Et une fois de plus, un grand, un énorme merci à l'ami lyonnais pour ton soutien, ton engagement, et surtout cette connexion desprits qui fait de nous comme des jumeaux. Rendez-vous la semaine prochaine pour la suite « 44.7 Un homme bien sucé
».
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